« f I » classique dont les trésors, souvent si mal connus, pi •Itent Ions les espoirs (et, nous le constatons déjà. de ce côté rions devons faire confiance et applaudir d’heureuses réus-sites). Pais, la product• contemporaine. et c’est là. naturellement. qu’est le danger (car, le « chois » devenu ici une qu’es  » purement per.• Ile, toute ré » se n’est done unique-ment dictée que par le 0 goût » on les « goûts » de l’éditeur). Ne suffit-il pas. I • nous satisfaire. de I voir applaudir à chaque nouvel envoi d’ineon-testables réussites ? N’est-il point instructif. d’ailleurs, et amusant de considérer chacun de ces disques et d’essayer de les situer dans une catégorie bien définie. ll y a. tout d’abord, la s mauvaise musique » mal interprétée et 11191 enregistrée ; il y a la o mauvaise musique » dont un enregistrement imparfait laisse I liant distinguer qu’elle a été, ici. admirablement exé-cutée ; il y a, hélas, la « mauvaise musique » admirablement enregistrée et interprétée. Vous n’avez eu certainement que trop d’occasions de l’entendre. Notez bien que ce n’est pas  » qui me lais-serai jamais troubler par la plus OU lus grande respectabilité dé telles classes de 11111S1- que. Tels blues, tels fbx-trots contiennent. n’en doutons pas. • substance sonore tout aussi sensible et digne de 11011S retenir que bien des thèmes étriqués et ‘nes. allongés ou morcelés sans joie au long d’•uvres soi-disant plus s élevées ». Mais encore faut-il étre assez sûr de soi I • ne pas trop vite se h •.-.• ‘é duper. il ne coûte guère de le confesser : si le cœur populaire s’attendrit et s’émerveille instantanément de ses balancements mélodiques, de ses truquages roublards. de ses fausses chutes et de ses élans assez grossièrement préparés, nue valse e la trop célébr• R. a (pour prendre un exemple entre mille) 11e possède eu réalité suc il’ avouable qui puisse, sans que nous 1111SS ‘ confesser notre honte, nous retenir plus de trois minutes. Toutefois c’est un fait, et qu’il faut savoir accepter avec ses conséquences. que la puissance séductrice d’imp•ovisat• s de cet ordre. Nul doute que le disque. lorsqu’il y adj ‘ I les prestiges indé-niables d’ • orchestral’ volUptuense ou éclatante. d’ • magistrale inlerprétat• (tout le le sait en effet maintenant que maints s ensembles » de jazz égalent en perfect tels ensembles v ••■4 à la signe « classique »). nul doute que le disque, dans de pareilles li-tions, n’ait contribué et ne contribue désormais à établir, avec une force certaine. le règne de cette sorte de « signe ». Je ne pense pas, ceci écrit, qu’il l’aille, si nous songeons à tout cela, se laisser gagner par je ne sais quelle mélancolie et quels regrets. Je crois44 111é111e que. trop longtemps. 1111e sorte de 1.11111115″ très nicheuse. née de celle mélanco-lie. a interdit an pl graphe les cite s on, • notre joie, s le 10,1111S C111111 se diriger et s’avancer. avec quel succès: vous- s assez entendu expliquer naguère, que c’était là une invent• qui ne servirait jamais que les inté-rêts de la musique de danse et de toutes les piètes « détachées o. sucrés des té •s chers à nos cités guérie ales, cavatines de Meyer-beer. prières de Puccini, clairs de lune de Massenet… One tette sorte d’ « art » ail i•epré-senti pendant fort longtemps en elfe la prodige »’ des grandes 111111S1111S de disques, cela n’est pas contestable. Mais c’est avec surprise tout d’abord. ensuite avec allégresse que s acons VU apparaître dans les catalo-gues. e ttttt meneant de s’y inscrire avec une sorte de timide prudence. prenant enfin une assu-rance désormais lûrtifiée, assurée par le succi•s, toute • série de •ceaux 1111i permet Iront (Fiel peu de temps de réunir, avec autant de facilité qu’un amateur de pi: groupant des drus l’es c posées  » • cet instrument. une bibliothèque où Bach. Haydn, Mozart. Beetho-ven voisineront avec Debussy, Stras iusky, Fauré… Et. I • en 11111r a sec ces considérations tris générales sur rés caution des enregistre-ments pl graphiques. 11.111111111111S pas de noter aussi qu’il faut tenir e lite, si s eherel à établir le choix le plus simple de la biblio-th•que à laquelle je viens de l’aire allusion, tout autant qu’en considérant tels disques de jazz, de la qualité 1111 des défauts des enregistrements. On 1 •rait préciser ici et établir de veau les 111é111eS diS1111191. s entre I s interprètes, bonnes œuvres. I • enregistrements, toutes ces 1111911CeS que s avons essayé de signaler et qui participent à un degré si éminent a la diffusion. au sacrés des disques. Voici maintenant quelques titres que j’ai à votre haleur . lls’agit là d’un premier choix. Mais je me suis assuré 1111 plaisir que vous prendrez aux audit’ infiniment remar-quables au xq « telles je vous cons ie… Chez — Coneerto de Brahms •eisNle•) Itarea•olle de Chopin ( xrlan.. liuhins-lei») •11 de Juan. Cotte… de Daquin, Tam-bourin de Iltanteatt (Watula ska): Fragmrn Ix de l’ %UMM’ d., trois oranges. de Prokolieff (dirigés par M. Coates): thneerto pour clarinettes de Welter (Garde Républicaine). Chez c01.1n nui. — Quintette de Se aaaaa »erg (axer deus violoneelles : Mouvements Perpétuels de Fran-eis Poulenc (interprétés par l’auteur): Syn aaaaaaa nie en mi hé 1 de Mozart (dirigée par Weingartne•): Petron•hka de Stravinski (dirigé par l’auteur). Chez. 014:0‘. — La Sy tupi lll i tt Fantastique de Berlioz (tir. par M. Pierné): Le Septuor de Saint-Saëns (tir, par M. Cloem). G•o•ge.sjA I’ if Il% 119