souhaitables que pour les aquat•elles. les dessins. les gravures. Lent’ nécessité ne s’impose pas g • la peinture dans RIOS reZ’ tempérées et sans brouillard. P oo r le bureau. on choisira les crus res les plus pures de couleur et de dessin. et fou son-gera q111.11111 MI, par exemple, peut distraire un c uuuuu manditaire éventuel. On se l’ait aisément • psychologie du tableau. dont l’exposit• a ses lois et ses nécessités. On peut douter qu’il soit heureux ‘rapi.. raitre comme un libertin ou un écervelé aux yeux de ses visiteurs. Le médecin qui posséderait une réplique de la petite lecon d’anatomie par Rembrandt aurait avantage à ne g • t la placer clair.: 5011 cabinet. et si quelque restaurateur colleet• • des vo-lailles de Sioutini. quelque tenancier de bar élé-gant des Itottault. on peut lui déconseiller de les exposer aux yeux de sa clientèle. ttttt me il est de mauvais gont de demander ce que représente un tableau (fut-il de Picasso ou de liraque). il est peu courtois d’émettre le prix des œuvres d’art g • requerra. l’admiration. Ce serait douter des connaissances picturales et de la sensibilité de nos amis. Nous remarq s frequemment lorsque noms visitons en e pagnie des exposit• s, des ateliers d’artiste. que devant chaque oeuvre révélée. les témoins croient nécessaire d’émettre une opinion out de sifflote… pour avoir une contenance et parait re s’y connaiitre. Demeurez en paix, goûtez le plaisir en sa plénitude. ne qualifiez pas. Soyez attentif’ mais silencieux. Connue les grandes douleurs, les grandes admirat• sont muettes. Florent FELS. uand le progrès s dote d’une force 11011 l’elle. nous ne trouvons pas aussi-tôt la meilleure fanon de l’utiliser parce que notre est esclave de certains préjugés de forme. Ainsi. une des premières applications que fon ait faite de la lu Indere électrique a été ces charmantes petites bougies de porcelaine. ces lampes. ces lustres qui rappelaient à s’y méprendre l’àge de la chandelle et du pétrole. On ne concevait pas qu’une I ière UOUVelle dut appeler des formes selles et, mente aujourd’hui. il y a bien des gens qui acceptent difficilement que l’électricité se passe de tous les ustensiles avec •lesquels on s’est éclairé pendant des siècles. Il en a été de même g • la traction niée:Mi-que et faut bile a e •..ce par copier les véhicules à traction aniunale On attelait le che-val-vapeur à la place de la plus noble e ttttt ruete de FI , et le problème semblait ainsi résolu. Si, au lieu de ces phaétons el de ces landau dont s dota au début l’industrie nul bile, On nous as ait proposé h’ st re sans queue ni tète du Major Seegra se. nous • sec’ s signés et s agir’ s été pris de pà ‘ lue comme me des nègres Bambaras devaIld Un pl graphe. Le coupé est la dernière survivance d’Un le de [oc t » périmé. Le chauffeur d’un coupé and bile g •rait encore titre coiffé d’un chapeau de haute forme, orné d’une cocarde, sans que s soyons par trop choqués de cet anachr tttt isme. A L Ires. les chaufreurs de taxi ont g • la plupart des chapeaux melons. 11 n’y a que le I’ •t dont ils aient consenti à se défaire. (‘est justement parce qu’il appartient aux deux époques de la floc t floc le coupé est une des voitures les plus difficiles à réaliser d’une Ut. har ieuse. Niais. ce n’est pas impossible comme vous g ez en juger par le cliché ci-contre. Be meIlle qu’un habil •. le coupé exige une stricte ordonnance de lignes qui ne permet pas un grand déploiement de fantaisie. 11 doit etre d’une sobriété totale. sans aucun accessoire extérieargnisiennee pr •I re son har . Je ne sais si vous ayez gardé le souvenir de ces s pt lieuses :tut biles avec lesquelles les Mats-majors américains abordèrent en France. Elles avaient des glaces arr lies. d’une gràcc charmante. et elles étaient flanquées de lanternes délicatement OUVragées. Il ne leur manquait que des écuyers g • galoper à la portière. C’était franchement ridicule. Un coupé doit d’ailleurs avoir le de glaces possible. Ce n’est pas une voiture g la route, vous n’avez pas bes • de voir le paysage. La rue Castiglione. le 1 levard des Cagbucines. ne vous réservent. j’imagine. aucune surprise et vous ne tenez pas. quand vous sortez II2