»Nous savons fort bien que. lorsque Cézanne ou Seurat entreprenaient une toile, ils ne songeaient pas à quelles .,,. places on la destinait. Je ne suis  » »  » » » pas certain que Renoir, et Chardin, et Rubens, se désintéressaient si aisément du sort de leurs oeuvres. L’ambiance donne une valeur relative à l’objet ou le diminue. ‘Trop de toiles se gènent entre elles. aussi préférez la qualité à la quantité. Coin de ces collect• – neurs qui n’achètent que pour les placards et les resserres. Sans compter qu’une toile qui n’est pas exposée au jour se fane comme un visage. Bien n’est plus haïssable que cet ama-teur qui considère d’un •il soupçonneux ses tableaux et se demande : Nlonteront-ils ? N’on, monsieur, ils ne t croit’: pas. Ils sous donneront du plaisir si vous les : ‘ . Peut 114 tire avez-vous déjà la fortune dans votre collec-tion. du moins n’attendez pas de votre collection la fortune. La peinture n’est pas faite pour cela, mais pour les cousins Pons et leurs amis. Hélas, il est à craindre qu’ils se fassent rares depuis feu M. Choquel. Nous savons que celui-ci me-nait une sic assez piètre l satisfaire à sa pals’ de Delacroix et de Cézanne. Qui se priverait aujourd’hui pour une joie qui demande du na, stère et du recueillement. L’amour de la peinture est une longue patience. N. pièces d’apparat, peintures d’apparat. Nous avons dit e bien s considérons qu’il est souhaitable d’ordonner les oeuvres suivant la pièce qui leur convient. C’est que FOU soit trop aisdiquent négliger l’importance de la lumière et ses effets sur les tableaux et les sculptures. Un décorateur sait cela mieux qu’un artiste