les autres, les présen-ter, en ajoutant 1111 mot caraélérisant leursgoùts et leur situai’ créer de ce fait une alti/a:10re agréable. Peu importe que nos invités appartiennent à des milieux différents. fout-il au • s que certains g • ts les rap prochent. Quelle que soit la différence d’ori-gine, de race, de menta-lité, il suffit aux invités d’avoir du tact et de l’éducation. La maîtresse de maison, imitant en cela les salons tin VIII, siècle, raclera la société, le gouvernement, les arts, les lettres, la poli-tique. L’har ‘ de ce fait n’est nullement r pue, car chacun a plaisir à se e nitre, l’un d’étire présenté à une per. alité 102 dl! 111011de. l’autre de connaître un député. dispensateur de faveurs. En peintre n a-t-il pas besoin de se faire de nou-velles relations pour avoir des commandes. un nomme de lettres, de 1101Ivean s lecteurs. Les maîtres de maison. conscients de leur devoir, ont à conduire la conversa( – .sans se trer aussi rigo11-roux que madame ,tubernon de lierville qui tenait, il y a trente ans, un salon d’esprit tille fréquentaient les acad•-miciens et les illustrations de l’époque. Madame de Nerville agitait sa sonnette et 11111 n’était admis à parler, avant que le signal ne lui eu rut donné. Les maitres de maison ne sauraient oublier de faire bril-ler chacun en sa spécialité, sus-citer au besoin d’aimables conflits d’idées d’où :naîtra la diseuse,’ et peut-ètre la lumière. Xe suffit-il pas de la présence d’un homme d’esprit,