Qt’and le patron de l’auberge de ee village, que je vous laisse choisir parmi tant d’aut•es, reçut son premier pl graphe pour la joie des indigènes (on allait enfin danser sans craindre d’exténuer clarinettes et violons!) qui g -ail sougoe« ))))) er le destin du magique appareil? Boite nasillarde et rouleau de cire portaient cependant en eux, déjà, les germes de ces t •bill anis essaims — mélodies à l’infini, liées à d’infinies har ‘ s dont la plus active industrie propose aujourd’hui les sortilèges salutaires. En Mozart, un Debussy-, si leurs interprètes se succèdent, leur belle essence ne change pas ; mais nos sensibilités changent. Ce qui hier encore surprenait aussi fort nos aillés, s l’accueillons avec joie, sans doute parce que en sentons enfin parfaitement le prix. ‘Fout connue notre corrs, notre esprit a ses ‘e ment* naturels. Celui qui s incline vers l’oeuvre d’art ne surprendra guère… Mais alors, il n’est que de regarder and • de soi g • se rendre compte de la place que prend désormais la musique, par l’intermédiaire du 0115 souple machinisme, dans la vie de nos contemporains. Mieux encore que le petit le où nous vivons, les j maux sont à eux seuls une image du le, et e bien expressive. N’ont-ils point leurs divisions, leurs limites, leurs tyrans, leurs parades et leurs mystères?… Ne v 1-ils g – t, sans raison, 11.1111 extrême à l’autre? Aussi bien, comprenons leur leçon. Jamais lumière plus précise ne fut portée sur les développements d’une plus admirable. découverte. Pas un grand journal, en effet, qui n’ait une rubrique consa-crée aux disques ‘eaux et, le plus souvent, fort bien rédigée et al lante en renseigne ((lents. Voeux revues à leur suite sont venues réunir «les lecteurs attentifs et fidèles. Ainsi le piano familial perd-il quelque peu de son attrait de naguère. Cela ne peut diminuer un optimisme, une confiance que rien, là-dedans, ne me semble contredire. Si je trois avec certitude à la plus grande expansion du disque, il me semble sûr que la musique — et la meilleure — ne pourra qu’y gagner. Je consulte au hasard le tableau des dernières producr s de 110S maitresses lignes. %vlez que l’été marque un ralentissement tout naturel de leur activité. NOUS les retrou-verons cet hiver, et avec tout leur éclat. Et g •tant… COLUMBIA offre le STEUK:1 RAZINE «le Glazounow dont le disque me per-mettra de dissocier g • mon pl. « .' » • et profit l’orchestral’ si lumineuse. Casals et Cortot me font signe : je m’installe dans MI fauteuil qui n’est pas un fauteuil d’orchestre, la lumière d’ • lampe que je règle à ma guise nientraine fort loin «les dures project• s élec-triques de nos grandes salles de sert. ♦iolon-celle et piano (quel pianiste! et quel violoncel-liste !) déroulent à leur tour (GAIA wornoxr) les sept variations oit Beethoven, prenant le prétexte d’un «air» de la FLUTE ENCILINTÉE ne parvient pas à nous faire oublier Mozart et nous (101111C la plus sav -cuise leçon… Mais si nous pensons à une leçon ! Si, par delà les mouvantes lignes de la plaque sonore, s voulons retenir, proposé par la plus généreuse voix, le plus bel exemple, voici, chez PATHÉ, 111••e N• Vallin qui, de Massenet, de Puccini, de Charpentier et, si je puis «lire, du plus faible Puccini, du plus incertain Char-pentier, du plus douteux Massenet, réussit à tirer une sorte de constante preuve par neuf, preuve de la toute puissance, g • une chan-teuse comme g • un chanteur, de la plus par-faite technique vocale. Mais, «le Nhon Vallin, nous applaudirons ce ‘s ci, avant tout, l’in-terprétai’ de l’Amour Sourira, de notre granti Manuel de Falla (chez Onrox). Sans doute, le Ir’ pie du pl graphe marque 1a fin d’un médiocre amateurisme. Comment ment OSER, désormais, certains massacres des plus innocentes musiques lorsqu’il nous suffit (le libérer pour quelques miaules les ai