que, malgré les meubles, les tentures, les tapis choisis avec soin le logis semble encore ouvert sur l’espace. Ceux qui s’assembleront ici g vivre sont cambre dans la nécessité de situer des limites à leurs sèves et des buts à leur imaginal . Ouelques décorateurs ont e pris que le peititre est leur collaboraienr indispensable et lors de l’Exposition Internationale des Arts Décor:11M, note part du succès de certains ensembles revenait à Segonzac, à Derain, é Vlaminck qui d aient aux intérieurs mie Nd de Au .1 • d’auj •d’hui. les tableaux ne sont plus destinés à l’église. aux palais des I:. rands. Les peintres l’oublient trop souvent el les )))))) •- ceaux de bravi .e » des Salons s révèlent encore que les artistes n’ont pas e pris que leurs oeuvres ont de • s ambitieux (lesdits. Mais n’est-ce pas en ce voler la valeur que de les choisir g • nn plaisir quo-tidien. g une fonction qui est de beauté florale et durable? noble cadence, et certifiaient du goût de ceux qui les avaient conviés. Il y a quelques ‘es. la le était, à New-York, de posséder • seule toile. mais d’impor-tance. A la plus visible. ••• la plus heureuse place. dressée e me sur un autel, ornée d’un cadre plus riche que g • encadrer le voile de Sainte Vér011ifille une toile. On la voulait signée de 1h’ de W hisiler, on de Alanet. car il est le temps où les purs