H.P. Nenot (Pans) r,t 1. Flegenheimer (Genève). A gauche les huit projets primés, ex aequo avec celui de Le Corbusier. C. Lefevre (Paris). 111111 ,H . e. leile>»)» ‘ ‘ 1111.1«4Yolool 401111111»e› G. Vago (Rome). 1937. La réalisation. 1927. 1935. Deux concours, deux batailles contre « l’Académie », deux échecs où Le Cor-busier se place volontairement comme le porte-drapeau des « modernes ». 1927 1. Concours pour le Palais (L. C. 40 ans) de la Société des Nations C. Broggi, G. Vaccaro et L. Franzi (Rome). A. Labro (Paris). I N.E. Eriksson (Stockholm). 1111111111111011011f– – – E. zu Putlitz, R. Klophaus et A. Schoch (Hambourg). E. Fahrenkamp et A. Deneke (Dusseldorf). Ouvert en avril 1926, ce concours fut jugé en avril 1927. Le jury était composé de neuf architectes : C. Lemaresquier (France), C. Gato (Espagne). Sir J. Burnett (Grande-Bretagne), A. Muggia (Italie), J. Hoffman (Autriche), K. Moser (Suisse), I. Tengborn (Suède), H. Berlage (Hol-lande), V. Horta (Belgique) qui était le prési-dent. Les délibérations durèrent six semaines : le jury décida que le concours n’avait pas donné de résultats permettant de recommander l’exécution d’un projet et attribua neuf pre-miers prix ex aequo, neuf premiè;es mentions, neuf deuxièmes mentions. Le concours était clos. C’était à la S.D.N de poursuivre ; elle nom-ma le 10 septembre un comité de cinq diplo-mates (Japon, Tchécoslovaquie, Grèce, Colom-bie, Empire britannique) qui le 22 décembre choisit comme meilleur projet celui de Nenot et Flegenheimer en demandant cependant, le projet devant être fortement modifié, que trois autres groupes (Broggi, Lefèvre et Vago) tra-vaillent à l’établissement du plan définitif. A la même époque, le représentant français au jury du concours était choisi pour construire le cercle militaire. •_ r-r- tr e-r r-r La commission nommée pour examiner les projets demandés à plusieurs architectes a choisi celui de M. Lemaresquier. L’éminent artiste a eu le bon goût de se tenir dans une -note classique, évitant les fantaisies modernistes qui ne lui paraissaient pas indi-quées pour cette destination. Des éléments de cos-tumes militaires, habilement utilisés dans la frise, des cuirasses et . des trophées rappellent la destination du bâtiment dont la partie centrale est divisée par quatre groupes de colonnes un peu plus hautes que celles du ministère de la Marine. Sur le fronton se détacheront quatre statues allégoriques, oeuvres d’ar-tistes en renom : MM. Sicard, Landowski, Injalbert et Jean Boucher. fie — x^«. a.IL LUSTRA TAON Projet de Hannes Meyer.