oVoiv•ido 4tegide ek 70.7elik.,004 4,00, ° « Ce que j’appelle rechercher « une cellule à échelle humaine », c’est oublier toute maison exis-tante, toutes habitudes ou tradition. C’est étudier avec sang-froid les conditions nouvelles dans les-quelles notre existence se déroule. C’est oser ana-lyser et savoir synthétiser. C’est sentir derrière soi l’appui des techniques modernes, devant soi la fatale évolution du bâtiment vers des méthodes de sagesse. Et c’est aspirer à assouvir le coeur d’un homme de l’équipe machiniste, et non pas à dorlo-ter quelques romanciers du « vieux toit » qui assis-teraient, sans même s’en apercevoir et le luth à la main, à la débâcle de la race, au décourage-ment de la ville, à l’assoupissement du pays. » 1,1•141111(z`1 tlUI« Il y a dans un paquebot 2 000 à 2 500 per-sonnes. C’est une grande maison. Il n’y règne nulle confusion, mais une discipline parfaite. On y mange, on y dort, on y danse, on y mé-dite, on s’y promène. Tous, sans exception, sur la terre, nous avons une profonde admiration pour le paquebot. Nous sommes en face d’un nouveau dimensionnement de la maison. » « Les « immeubles-villas » proposent une for-mule neuve d’habitation de grande ville. Chaque appartement est, en réalité, une petite maison avec jardin, située à n’importe quelle hauteur au-dessus d’une chaussée. » Intérieur du pavillon de l’E.N. 2e étude 1925 (L. C. 38 ans)