les expositions à Paris et dans le monde Amsterdam ARP StedeliJk Museum PINOT GALLIZIO Stedelijk Museum Ascona VIELFAURE, CONDE Baden-Baden ARP Berne SAM FRANCIS Kunsthalle Brême Galleria La Cittadella du 18/6 au 8/7 Staatlichen Kunsthalle du 30/6 au 31/7 du 28/5 au 17/7 KLAUS JURGEN-FISCHER Galerie Schnoor Buenos Aires SIMONA ERTAN Dusseldorf Galeria Van Riel ARMAN Galerie Schmela Essen ALAN DAVIE FrankfurtiMain KARL-OTTO GOTZ Legnano BORDONI MARIE SPERLING Londres du 29/5 au 20/6 du 17/6 au 4/7 . vernissage le 24/6 Galerie Rudolf Zwirner vernissage le 19/5 Galerie Daniel Cordier du 2/6 au 10/7 Galleria del Grattacielo Galleria del Grattacielo MARCELLE CAHN Kaplan Gallery CHABRILLAN Woodstock Gallery KOSICE Drian Gallery MARY ET KENNETH MARTIN I.C.A. NICOLAS SCHOFFER I.C.A. Metz -PIGNON Musée Municipal Milan REMO BRINDISI WILLIAM COPLEY DUBUFFET VERA HALLER WOLS Munich BERNARD HEILIGER HANS RICHTER New-York LINDSEY DECKER REMENY Paris ARP ROGER BARR A. BEAUDIN BEAUFORD-DELANEY DENNIS BYNG JEAN CARTON DESNOYER DORCELY C. D’ESTIENNE HAROLD FRANK J. GALLET GARBELL H. GROLL HAYDEN ARIANE HORVATH BUFFIE JOHNSON KLEE J.F. KOENIG R. LACOSTE LALAN LAUBIES HENRI LAURENS JEAN-JACQUES LEBEL LEPATRE JOZEF MEES MUHL J. RAEDECKER AD. REINHARDT RIEC-JESTIN RIOPELLE ROUAULT SIGNORI, KRAJCBERG SHU TANAKA ZAO WOU-KI Rome MARTINI EMIL SCHUMACHER Saint-Gallen FRANCIS BOTT Stockholm _ BAERTLING Turin JEAN FAUTRIER FUsco Udine SIRONI Zagreb MINNA CITRON Zurich MAX BILL Galleria Galleria Galleria Galleria Galleria vernissage le 12/6 vernissage le 26/6 vernissage le 10/6 du 23/5 au 11/6 du 11 au 30/5 du 0/6 au 2/7 du 7 au 30/7 juillet à septembre del Grattacielo del Naviglio Blu del Naviglio Blu vernissage le 4/6 vernissage le 4/6 vernissage le 16/5 vernissage le 14/6 du 30/5 au 2/7 Galerie Gunther Franke du 25/6 au 31/7 Stadtische Galerie du 12/5 au 5/6 Zahriskie Gallery du 2 au 21/5 Sidney Janis Gallery du 23/5 au 11/6 Galerie Denise René vernissage le 30/6 Galerie Philadelphie du 0 au 30/6 Galerie Louise Leiris du 20/5 au 11/6 Galerie Facchetti vernissage le 21/6 Galerie Lacloche du 14/6 au 9/7 Galerie Bernier du 10/6 au 2/7 Galerie Marcel Guiot du ter au 25/6 Galerie Espace du 14 au 30/6 Galerie La Demeure du 8 au 26/6 Galerie Ardail-Castro du 14/6 au 2/7 Galerie S. Badinier du 9 au 30/6 Galerie Pierre du 10 au 30/6 Galerie Jean Giraudoux dit 10 au 30/6 Galerie Suillerot du let au 30/6 ■e Galerie Jean Camion rnissage le 24/6 Galerie Bina (In 9/6 au 2/7 Galerie Berggruen du 7/6 au 16/7 Galerie Arnaud du 2 au 28/6 du 10 au 27/6 Galerie La Roue ■Iu Galerie R. Creuze 7 au 25/6 Galerie André Scheeller du 0/6 au let/7 Galerie Claude Bernard Iernissage le 9/6 Galerie Furstenberg du 27/5 an 111/6 Galerie J. Goldschmidt du 10 au Galerie du Haut Pavé du 10 au Galerie de Paris du 8/6 au Foyer des Artistes du 27/5 ail Galerie Iris Clert dii Galerie Jacques Norval r, ;lu 32/0 (Iii :11 5 au 21/0 Galerie J. Dubourg Galerie Creuzevault (lu au 15 • »; Galerie XX.’ siècle du 21/6 au Galerie de Beaune du 31/5 au 21 Galerie de France vernissage le I Galleria Appunto Galleria La Medusa vernissage le ’27 vernissage le 25/6 Galerie Imerkar du 14/6 au 31/7 Galerie Samlaren du 20/5 au 20/6 Notizie Galleria La Comice vernissage le 31/5 -du 28/5 au 15/6 Galleria del Glrasole dit 5 iii 17/6 Gradska Galerija Galerie S. Bollag du 18/6 au 21 Bibliographie PANORAMA DES ARTS PLASTIQUES CONTEMPORAINS, par Jean Cassou. Cet ouvrage n’est pas un livre d’art, mais un livre sur l’art. Du reste, il est publié par la Collection « Le Point du Jour e, chez Gallimard. Fort d’environ 800 pages, il constitue une somme de l’historique plastique du demi-siècle. L’auteur fait porter ses études analytiques et historiques sur les diffé-rentes écoles artistiques qui se succédèrent depuis les Nabis. Les apports étrangers n’ont pas été oubliés, du Blau Reiter à la jeune peinture américaine en passant par le Futurisme et les mouvements abstraits. L’importance de son sujet général a obligé Jean Casou à résumer le développement de ses chapi-Ires particuliers. Ainsi, certains font-ils penser à des sortes de « digests ». Tout ce qui a trait à l’architecture ou au décor de théâtre par exemple. Néan-moins, à cette formule, l’ensemble gagne une clarté d’exposition qui n’est pas négligeable. Il n’y a rien, dans ce livre, qui puisse dérouter le lecteur moyen. La compréhension de ce dernier est d’ailleurs facilitée par les nombreuses planches qui illustrent l’ouvrage et par des documents et des tableaux chrono. logiques sur les principaux artistes. Denys CHEVALIER. LA PEINTURE D’AUJOURD’HUI, par Jean Guichard-Meili. Faire parler les peintres, les faire s’exprimer verbalement sur leur esthé-tique, leur éthique, ou leur idéologie personnelle est un art qui n’est facile qu’en apparence. Visiblement, Jean Guichard-Meili en connaît toutes les lai-blesses et toutes les possibilités. Les textes qu’il a recueillis et qui suivent une substantielle introduction, dus à Zack, Carrade, Manessier, Elvire Jan, Bertholle, Lapicque, Le Moal, etc., sont essentiels. Ils puisent, du reste, une bonne partie de leur intérêt dans la forme dialoguée qui leur sert de présentation. Edité par « Témoignage chrétien » dans sa collection « Bibliothèque de l’homme d’action ., ce petit livre, d’une lecture très attachante, est illustré de huit dessins originaux de chacun des peintres interrogés. D. C. DESSINS D’ESTEVE, par Franck Elgar. Plus qu’un livre, l’ouvrage que viennent de publier les Editions de la Galerie Galanis, est un album. Le texte y tient peu de place. Les reproductions, par contre, y sont abondantes et particulièrement soignées. Grâce à elles, on peut suivre l’évolution graphique d’un de nos meilleurs peintres contemporains, à travers quarante ans de sa production de dessins. D’un format assez grand mais agréable, cet album qui, par la perfection de sa réalisation, entre dans la catégorie de l’édition de luxe, a sa place dans la bibliothèque de tout amateur d’art. D. C. LE MONOLOGUE DU PEINTRE, par Georges Charbonnier. Voici le tome II de cet ouvrage édité par René Julliard. Illustré de huit reproductions, il se présente sous une couverture de Music. Comme le premier volume, il est composé par les entretiens que l’auteur a eus avec différents artistes. -Le seul reproche que l’on puisse lui faire est d’être quelque peu déroutant. En effet, il fait voisiner des interviews de Matisse, Tal Coat et Vieira da Silva par exemple, avec des textes de Dunoyer de Segonzac, Buffet, Brianchon et Labisse. Néanmoins, tel qu’il se présente, ce livre est une source inappréciable de documentation. D. C. « LA RUCHE s, par Jacques Chapiro. La preuve est faite que Jacques Chapiro n’est pas seulement le peintre de talent dont on n’a pas oublié la récente exposition à la Galerie Montmorency. Il est aussi un écrivain et un écrivain de classe, comme le prouve le livre de souvenirs que viennent de publier les Editions Flammarion. Documenté, farci d’anecdotes, écrit d’une plume alerte et frémissante, cet ouvrage, consacré à lu gloire de l’époque héroïque de la peinture moderne, correspond très exactement à ce qu’attendaient tous les historiens d’art qui déploraient l’absence de toute étude historique exhaustive sur la Ruche et son époque. Voici désormais une lacune de comblée. Grâce au livre de Jacques Chapiro (préfacé par Jean Cassou et illustré de nombreuses et très rares photographies anciennes) on est en droit d’espérer, au surplus, que le fâcheux projet de démolition des ateliers de la Ruche (ce haut lieu de l’Ecole de Paris) sera définitivement abandonné. D. C. FEITO, par Pierre Restany. Les Editions de la Galerie Arnaud viennent de publier un album consacré à l’oeuvre du jeune peintre espagnol Luis Feito. Illustré de reproductions en .noirs et en couleurs, cet ouvrage est présenté par Pierre Restany qui a écrtit, à cette occasion, un texte substantiel intitulé Le lyrisme castillan et la tradition mystique, reproduit in extenso en trois langues. D. C. J.-F. KOENIG, par Pierre Restany. Même auteur, même éditeur. Ce livre, d’un format identique, bénéficie de quelques reproductions supplémentaires. II commémore, en quelque sorte, la très belle exposition de cet artiste américain qui vient à peine de fermer ses portes. Suivi de sa traduction anglaise, le texte de Restany (Le lyrisme de l’étendue) constitue un des meilleurs exemples de ce que devrait être toute approche littéraire et critique d’un oeuvre peint. D. C. ALICIA PENALBA, par Michel Seuphor. A l’occasion de l’exposition qui s’est tenue à la Galerie Claude Bernard à Paris, vient d’être éditée par Bodensee-Verlag Amriswil une petite plaquette consacrée à rceuvre du sculpteur Alicia Penalba. L’ouvrage comporte une introduction de Michel Seuphor, une biographie de l’artiste, ainsi qu’une bibliographie des études qui lui ont été consacrées. Viennent ensuite le catalogue de l’exposition et les reproductions des oeuvres. Née en 1918 à Buenos-Aires où elle suivit des cours à l’Ecole des Beaux-Arts, Alicia Penalba participa à de nombreux salons et obtint plusieurs prix nationaux. Elle vint ensuite à Paris en 1948 et travailla avec acharnement dans diverses disciplines. Elle étudia, en particulier pendant trois ans, dans l’atelier de Zadkine. Sa première exposition particulière date de 1957 à la Galerie du Dragon. Elle collabora ensuite avec des architectes, réalisant des sculptures-jeux pour enfants, ainsi qu’une série de fontaines. En 1959, elle expose avec Hajdu et Cousins au Musée de Krefeld (Allemagne). Elle a également participé à une exposition de sculptures au Musée Guggenheim, à New-York. AMADEO SOUZA-CARDOSO, par José-Augusto França. Dans la Collection d’Art Contemporain éditée par « Artis e, l’excellent critique I.A. França présente les oeuvres d’Amadeo de Souza-Cardoso. Né en 1887, Amadeo de Souza-Cardoso se prépara d’abord à la carrière d’architecte à l’Ecole des Beaux-Arts à Lisbonne. Il vint ensuite en’ France e 19 ans et commença à étudier la peinture, fréquentant l’atelier d’Anglada Camarasa et différentes académies libres. Ami de Modigliani, il fait avec lui une exposition en 1911 et expose ensuite à plusieurs reprises au Salon des Indépendants. Il expose en Europe et en Amérique et en 1916 inaugure une exposition intitulée « Abstractionnisme e à Porto et à Lisbonne, exposition fort mal accueillie par le public et la critique, qui l’oblige à prendre appui sur le groupe futuriste au sein duquel il compte de nombreux amis. Victime de la grippe espagnole, il mourut en 1918. França analyse l’art de Souza-Cardoso, le replace dans so en découvertes picturales et souligne l’aspect plus typiqueme oeuvre attachante dont dix-sept reproductions, les unes en n couleurs, sont données en planches séparées. Directeur Gérant André Bloc Imprimé en France S.F.I. 27 ru