Art photographique Festival International d’Art Protogranindne de Bruxelles. A l’occasion de ce Festival, le Grand Prix du Photo•ine•Glu de Boitsforl, 0GB…saleur r' »17ier’s’réers’;irtirott ‘été »O’Llennu’s ler7ceeirinKrenoz,mr.,2.tneeZ;. soare. Helmut Lederer, Patrick Lejeune ,Oto ritue, vrolfgang Reisewitz, Aleksander Kukec, François Pie, Permantier Marco, Bruxelles, PnOlugrenille• • • Un peu partout une nouvelle cons-ricuae travaille’ les, photographes. Ils «-asseinblent pore • oriénter• Torrs Ceche, «hes, discuter leurs trouvailles, affirmer leur Pilent et celte émulation se manifeste par de gmodes.expositions, témoignages certains d’une r’éelle activité. Jusqu’a présent, la Belgique était restée eu dehors du Mobvement. Il a fallu l’ini-Dative do « Phold-Ciné Club » de Boite-fort pour combler celle ((dune. C’est aintenant chose Dale el l’on peut s m e réjouir de ce que ce premier « Festival » constitue le plus encourageant début. Sans «oda,’ doute, le plus grand éclec-tisme ° présidé au choix des eetades relu-iules. Peul-etre pont une prentiére prise de contact, nécessaire d’accepter une vaste confrontation suant de prendre des décisions,. des positions qui engagent davantage. Des recherches passionnuntes de Otto Steiner de Sarrebruck aux remar-quables réalisations de Calherineau de Lille et de Raymond fourneaux de Rouen, des signes calligraphiques de Pim van Os aux compositions surréalistes de Hajek-Iltilke, dir réalisme socicd d’Edith Bach aux tableaux de musée de José Orli2 Eeltagite, tout l’éventail est ouvert. Il faudra choisir et avoir le courage de prendre parti la photographier aussi ses académismes et sou avant-garde. ce-pendant, tel qu’il est, le s Festival » le grand mérite de révéler des hommesi et des talents qu’on serait heureux de mieux connaître, Sans vouloir foire un inventaire nécessairement incomplet, ni formuler un jugement sur un échantillon-nage trop restreint, nous pensons aux Belges Besart, Vandenhetzuel, de Keyser, et tout particulièrementcette remar-quable equipe de Sarrebruck dont la tenue est exceptionnelle. Et pourtant, l’intérêt de ce Festival ne se limite pas à ces heureuses renconDes. Nous savons que, théoriquement, tout le monde est d’accord : la photographie est HP art tout comme la peinture, la sculp-ture, l’architecture ; et le photographe. un artiste qui poursuit les mêmes objectifs que ses collègues des autres disciplines .harmoniser les éléments dis-parates de ce qui consilium( la vie ou le milieu, accorder l’homme avec son uni-vers. En pratique, te pholOgraphe n’en est pas entièrement convaincu. Il semble encore ignorer que son fameux eeut ouvert sur le monde ne serait rien sans l’esprit qui l’anime el le dirige que la photographie est un maléidan infiniment malléable et souple el qu’en définitive elle ne dit jamais que ce qu’on lui fait dire, que ce qui existe déja dans l’imagination et dans l’esprit de celui qui photographie. Une longue tradition de bricolage tech-nique, quand ce ne sont pas des pré°, copulions économiques, Sil1011 mercan-tiles, contrarient trop souvent tri volonté créatrice du photographe et lui font oublier ce qui, selon nous, constitue l’essentiel de sa mission. Longtemps inféodé à lavision du peintre, le photographe parvient difficile-ment à s’en détacher. Il veut que S011 couvre ressemble à on tableau. Et ce sera peut-être Iii le véritable enseignement de ce premier festival la photo doit être aussi belle qu’un tableau, louis autre. La photographie s’affirment el prendra tante son importance le jour où elle aura triarld son stgle, son donodue, s nécessite. Ou no saurait trop le a ‘Aide graphes surtout. Cire e.,1 d eux qu’il revient de repenser 1c ‘,raider », d’établir les limites de leur art cl Truculence ses possibilités prouves, fouibrume le, mitres artistes résolvent clamai. leur lem propre peobleme au sein des ceoliu genees que leur art leur dupes,Ire somme, en photographie eb on demande des génies. .1. 1 faneurs, n’,1,1 RA U7 .