eriefru-a2eeer4e-sny 77ae,-7:7;m7e 7,7- » eeer (9e ‘Dey Mie! . •L’`r k veule Vettr’ufe..’4 afee.:,ç ecei ez.eaa— ‘eeee. 3 a ,f#,;7221e. eeier pewt/à4 y ay BERNARD NAUDIN. L’Invitation au vernissage du Salon d’Automne. LE SALON D’AUTOMNE ‘1,1 s, .r d’une Société est en tous points semblable à la destinée humaine. 1:11,, 11 averse les mêmes crises et subit les mêmes variations atmosphériques; elle connaît des âges critiques ; elle a ses fièvres de croissance. Tout comme nous, les groupements n’acquièrent l’expérience qu’à leurs dépens. L’im-prudence et l’exagération guettent leurs débuts. Mais lorsqu’ils répon-dent réellement à un besoin, au milieu même des mouvements désordonnés de leur adolescence, on sent passer la force sacrée de la vie devant laquelle il faut s’incliner, car une heure arrive pour la sa-gesse. Certains même affirment qu’elle vient toujours trop tôt. Sans que ce soit là mon avis, je pense MARQUET. Les Toits. PLot. Lémery. il